Le chateau de ma mère (Texte à trous)

Tous les matins, je pense à toi à  travers ma fenêtre, dois-je me défenestréau rez de jardin, un jardin calmeet les oiseaux sans faire de bruits s'endorment ou piallent, cela dépend du momoent où je me dresse debout comme chaque jours qui passent. Les augures savent que les crimesne restent jamais ignorés Bonne augure quand je me tais, mauvaiselorsque je leur répond. Ca oui, ce n'était pas un crime, mais aux yaux de dieu cela reste une infidèlité. Car ma chère maman, je suis un hommeet plus un enfant, j'ai fait mon chemin et j'ai trouver plus fort que toicar avant toi il y a ma mie et ma muse. Il existe pas un son, pas un mouvement qui définit l'amour que vous m'avez volé. Je partirais quand même avec la dotte. Enfin paraiissat mon père, je te ratrappe et te dépasse en me dépaçant. A la manière de Napoléon mort à saint Hélène.